Comprendre les données de mortalité européenne pour prendre les bonnes décisions

Nouvelle vidéo de Décoder l'éco qui explique, chiffres et graphiques à l 'appui, les pics de mortalités de l'année 2020 et 2021.
Loin de la propagande officielle, ces informations corroborent les avertissements de nombreux médecins. L'absence de soin est la principale raison de la mortalité.

Odysee - Comprendre les données de mortalité européenne pour prendre les bonnes décisions Partie 1
Temps de lecture: 16 minutes.

Odysee - Comprendre les données de mortalité européenne pour prendre les bonnes décisions Partie 2
Temps de lecture: 35 minutes.

Une retranscription est disponible
AgoraVox - La mortalité en Europe : l’urgence d’arrêter la psychose
Temps de lecture: 112-144 minutes.


Du point de vue de la mortalité, l’année 2020 est comparable au reste de la décennie pour une majorité de pays d’Europe

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Pour l’Islande, la Norvège et le Danemark , l’année 2020 est en fait l’année la moins mortelle de toute leur histoire. Dans ces pays, les habitants ne sont jamais moins morts qu’en 2020. Ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont pas de morts attribués à la Covid-19, mais dans ces pays, malgré la pandémie annoncée, l’année 2020 est le record absolu de plus faible mortalité.

L’Allemagne, la Suède, la Finlande, l’Estonie et la Lituanie ont vécu la 2e année la moins mortelle de toute leur histoire. Seule l’année 2019 a enregistré moins de décès. En effet, pour l’écrasante majorité des pays d’Europe, l’année 2019 a été un record de sous-mortalité qui sera très difficile à battre, même en enfermant toute la population.

Une majorité des pays d’Europe, dont la France, a vécu une année 2020 dans la norme de la décennie.

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L’année 2020 présentée comme une hécatombe mondiale, n’est en fait qu’une année pendant laquelle, au pire, les humains sont morts dans les mêmes proportions que l’année 2010. Ce qui est montré depuis 6 mois pour la France sur la chaîne Décoder l’éco, est donc réplicable pour tous les pays pour lesquels des données sont disponibles.

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L’année 2019 a connu une mortalité extrêmement faible partout en Europe. Il semble banal de penser que si des morts sont évités une année, elles finiront par se répercuter sur les années suivantes et non pas ne plus jamais survenir. Encore en 2020, on ne peut pas éviter la mort, au mieux on la repousse.

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Parmi les 9 pays ayant connu une surmortalité au mois de mars-avril, 7 ont mis en place un confinement à cette période. Dans tous ces pays, le seuil de surmortalité a été franchis après le début du confinement. En tenant compte du délai d’arrivée des données, on conclue que la décision du confinement n’a jamais pu être déclenchée par réaction à une surmortalité.

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Beaucoup de journalistes écrivent que le confinement strict a permis de sauver de nombreuses vies par l’absence des accidents de voiture. Il est aisé de quantifier le nombre de vies sauvées au maximum par une telle mesure. Il y a environ 3 600 décès sur la route par an en France, soit 300 par mois, cela fait environ 600 décès sur la période de confinement. Les ¾ de ces décès concernent des moins de 65 ans.

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Parallèlement, le 7 mai 2020, dans son bulletin épidémiologique, Santé publique France tire la sonnette d’alarme sur le renoncement au soin. En France, environ 120 000 infarctus sont dénombrés chaque année, soit 20 000 attendus pendant la période de confinement. De même, 150 000 AVC sont comptabilisés chaque année, soit 25 000 en 2 mois. Contrairement aux accidents de la route, les AVC et les infarctus touchent majoritairement le même public que les victimes de la Covid.

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Ce choix de ne pas laisser les médecins de ville proposer de traitements dans le cadre d’une infection respiratoire aiguë pendant les mois de mars et d’avril, a entraîné une dégradation sans précédent de l’état de santé des patients. La non-prescription d’antibiotiques aura permis aux bactéries de proliférer chez les patients âgés et affaiblis. Ainsi, à partir de fin mars, de nombreux français dont l’état de santé s’est dégradé à leur domicile affluent dans les services hospitaliers.

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Ainsi, 50 % des patients arrivant à l’hôpital sont placés en réanimation dès de le premier jour et 17% des patients décèdent dès le premier jour. Ces ratios énormes prouvent que les patient arrivent trop tard à l’hôpital.

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Ainsi, la dérogation du décret ne propose pas l’utilisation d’un sédatif, mais d’un médicament déclenchant l’arrêt de la respiration du patient et donc son décès anticipé. Le décret a eu cours du 28 mars au 11 mai, soit dans la période exacte sur laquelle est constatée le plus fort nombre de décès depuis la canicule de 2003. L’analyse des ventes de Rivotril en pharmacie dans sa forme injectable reflète l’ampleur de l’utilisation de ce produit.

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Ainsi, contrairement aux antibiotiques, les ventes de boîtes Rivotril dans a forme injectable ont augmenté de 59 % au mois de mars et de 227 % en avril relativement à la moyenne observée entre 2017 et 2019. Cette augmentation sur mars-avril représente 1 700 boîtes du produit et plus de l’habitude. Précisons que chaque boîte contient 6 ampoules dont une à 2 sont utilisées par patient dans le cadre d’une fin de vie. Ces statistiques ne reflètent que partiellement l’utilisation de cette molécule, car elles ne prennent pas en compte les doses qui ne sont pas distribuées par les pharmacies de ville, par exemple en provenance directe de l’hôpital. On s’étonne par la suite que la consommation de ce produit dans sa forme injectable n’ait pas retrouvé son ancien niveau. Entre mars 2020 et mars 2021, ce sont 6 150 boîtes supplémentaires à l’habitude qui ont été vendues, soit plus de 36 000 ampoules.

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De nombreux pays européens présentent une mortalité saisonnière forte et précoce dès octobre 2020. Seuls quelques pays échappent à cette hausse des décès : Chypre, Malte, le Danemark, l’Islande, la Norvège et la Finlande. Pour les pays concernés cependant, la hausse de mortalité est simultanée, rendant, encore une fois, impossible la seule cause d’un unique virus se propageant en Europe. Nous notons de surcroît, que la généralisation du port du masque, les gestes barrière, les fermetures de nombreux lieux publics, les jauges de publics dans les commerces, la profusion de gel hydroalcoolique ou encore la diffusion du télétravail, n’ont absolument pas empêché la mortalité hivernale d’être aux mêmes niveaux, voire légèrement supérieur à ce qui est observé d’habitude.

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La campagne de vaccinale grippale arrive tardivement dans l’année. Elle est concomitante à la hausse de mortalité hivernale.

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Concernant la Hongrie, on note une concomitance parfaite entre le début de la campagne vaccinale contre la Covid-19 et une très forte hausse de la mortalité pour atteindre le maximum connu en décembre pour les plus de 65 ans. Pour les moins de 65 ans, la situation est pire que 2 mois auparavant. Il s’agit même d’un record absolu pour toute la période où nous disposons de données sur Eurostat (2013).

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Si on prend en compte l’évolution de la pyramide des âges en Hongrie et la forte baisse du nombre de moins de 40 ans, il s’agit également de la période connaissant le plus de décès de jeunes enregistrés. Étant communément admis que les jeunes ne décèdent quasiment jamais d’infections respiratoires aiguës contractées pendant l’hiver, et pas plus de la Covid-19, le nombre de causes possibles de cette surmortalité est limitée. Même si certains affirmeront que la cause viendrait d’un nouveau virus, cela signifierait qu’il serait apparu uniquement depuis la campagne vaccinale.

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Pour la France, les différentes mesures identifiées participent mécaniquement à une augmentation des décès sans que l’on puisse quantifier un quelconque impact bénéfique. Dès lors, si la mortalité n’est finalement pas exceptionnelle, est-il raisonnable d’entretenir un climat de peur, de maintenir les règles liberticides en place et de lancer des campagnes de vaccinations d’une ampleur jamais connue réalisées à partir de produits expérimentaux ?

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Nous observons que tous les pays européens ayant démarré en masse une campagne de vaccination contre la Covid-19 ont des taux de mortalité inhabituels pour la saison. Les pays ayant le plus massivement vaccinés ont des taux de mortalité chez leurs jeunes jamais égalés jusqu’à maintenant.

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