Médecine d’hier - Médecine d’aujourd’hui

Du petit bobo au virus ravageur, les humains comme les animaux ont toujours cherché des solutions pour se soigner. Depuis la naissance de la Terre, la vie s’est propagée au fil du temps et la nature s’est dotée de remèdes qui ont guéri beaucoup de maux. Déjà à l’époque des hommes préhistoriques, la recherche de remèdes faisait partie de leurs préoccupations. D’après Pierre Thillaud, professeur d’histoire de la médecine, « Les maux dont souffraient nos ancêtres sont les mêmes que les nôtres »

L’histoire de la pharmacie et des médicaments commence vers 8 500 avant notre ère, à l’époque Néolithique. À l’aide de plantes médicinales et d’extraits d’animaux, l’art de guérir émerge.

Quelques fouilles sur un site néolithique ont révélé le plus vieux témoignage d’un acte chirurgical datant de 6 900 ans. Il s’agit d’une amputation d’un bras réussi sur un homme âgé. Toutes les images radiologiques révèlent des signes de cicatrisation osseuse. Il ne s'agirait pas d'une amputation accidentelle mais d'un véritable choix médical. La cicatrisation osseuse signale la survie du patient et l'absence d'infection, témoignage d'une bonne asepsie. Si la pratique de la trépanation est bien attestée dans l'Europe néolithique, les preuves d'autres types d'interventions chirurgicales, l'amputation notamment, sont rarissimes.

En 1991 dans les Alpes du Tyrol, une momie âgée de 5 000 ans nommée Ötzi a été retrouvée. Bien conservé, cet homme d’une quarantaine d’années a conservé tous ses vêtements, armes et quelques affaires personnelles. Ce qui a permis aux chercheurs de mieux comprendre la vie de cet homme. Les chercheurs ont découvert qu’Ötzi souffrait d’arthrose. Certains tatouages se situaient sur des parties du corps douloureuses. Cela a été interprété comme « une thérapie pour calmer la souffrance de parties du corps, peut-être à l'origine de douleurs rhumatismales » Il y avait également dans un de ses sacs, des végétaux non destinés à la nutrition qui pourraient avoir été des remèdes.

Depuis leurs origines, les hommes ont étudié les vertus thérapeutiques des plantes. De nombreux témoignages de cette science nous sont parvenus depuis l'Antiquité et cette médecine continue encore aujourd'hui à être employée par des millions de personnes à travers le monde. Parmi les quelques 250 000 espèces végétales connues à travers le monde, l’OMS a répertorié plus de 20 000 plantes aux vertus médicinales dont environ 1 200 constituent la pharmacopée courante. La phytothérapie, l’art de soigner par les fruits, les racines, les plantes et autres substances naturelles ont toujours été connus pour leurs propriétés nutritives mais aussi pour leurs vertus curatives.

Le premier texte connu sur la phytothérapie a été rédigé par les Sumériens, 3 000 ans avant notre ère. Durant des milliers d’années, la phytothérapie a constitué la principale source de remèdes contre de nombreuses maladies.


L’hôpital apparaît au 6e siècle pour devenir une institution publique administrée par l’église catholique, alors religion d’état, à l’intérieur même des monastères. Quelques siècles plus tard, au moyen-âge, la médecine s’affirme comme une discipline scientifique et apparaît alors comme une discipline de pointe. Les premières universités européennes se développent pour enseigner un savoir tiré de l’Antiquité. À l’époque, les femmes ont une place importante dans la médecine. Trotula de Salerne, médecienne et chirurgienne du 11e siècle, étudia à l'école de médecine de Salerne puis devint enseignante et praticienne au dispensaire attenant où l'on soignait de riches italiens, des Croisés de retour d'Orient et des étrangers venus de toutes parts. Mais d’autres femmes ont marqué leur temps, telle Constantia Calenda, Rébecca Guarna et Abbela qui elles aussi, ont travaillé en tant que médecin à Salerne.

Mais du 15e siècle et jusqu’au 17e siècle, la chasse aux sorcières a connu des moments difficiles. La persécution de certaines personnes, souvent des femmes, est organisée par l'Inquisition pour lutter contre l'hérésie à laquelle on associe la sorcellerie. Ces femmes, provenant surtout des classes populaires, sont souvent des sages-femmes ou des guérisseuses qui détiennent un certain savoir, ce qui leur donne un rôle contraire aux normes de l'époque.

Si la chirurgie existe depuis la préhistoire, elle sera considérée comme un acte de barbarie à partir du 15e siècle. C’est au 16e siècle que la médecine prend un nouveau chemin. De Léonard De Vinci qui a travaillé sur l'anatomie scientifique en disséquant des cadavres à Ambroise Paré, qui a pratiqué la chirurgie sur les champs de batailles, la médecine prend un nouvel essor.


La médecine elle aussi, a ses histoires. Celle de l’épidémie meurtrière de peste est très souvent relatée. Celle dont on parle le plus souvent est celle de Marseille qui a débuté en mai 1720. Ville surpeuplée et où l’hygiène est déplorable, la maladie s’installe très vite. Au début du mois de juillet, on dénombre 40 morts par jour pour atteindre 1 000 par jour à partir du mois de septembre. On isole les malades, les maisons sont désinfectées et enfumées, on incinère les morts. Pour pouvoir s’approcher des malades, des médecins portent un masque au bec de canard dans lequel, on place des plantes aromatiques aux propriétés antiseptiques et anti bactériennes, tel du girofle et du romarin. Pour aider aux soins, des recettes du monde entier parviennent jusqu’à Marseille. Le plus efficace serait le vinaigre sur une éponge que l’on place devant sa bouche. La peste de 1720 aura décimé la moitié de la population marseillaise, soit 40 000 personnes.

Ce n’était pas la première fois que la peste faisait ses ravages. Mais une date retient mon attention, celle de Toulouse en 1628 qui dura trois ans et fit 10 000 mort sur 50 000 habitants. Alors que l’épidémie fait rage, 4 voleurs en parfaite santé ne semblent ne pas s’en soucier et pillent sans aucune vergogne les maisons atteintes par le virus. Ils dépouillent les cadavres et vident toutes leurs économies cachées. Très vite arrêtés, ils sont menés devant la justice qui les condamne à la roue. Ils éviteront de justesse le supplice de cette horrible torture en avouant leur secret, un vieux vieux remède franciscain, un vinaigre médicinal qui fut inscrit au codex en 1748. Un remède miracle qui soigne bien des maux.


Fin du 19e siècle, la médecine prend un nouveau chemin, celui de la vaccination. La toute première est alors inoculé à un jeune garçon de 9 ans, Joseph Meister qui vient d’être mordu à plusieurs reprises par un chien enragé. L’histoire nous raconte que le 4 juillet 1885, un jeune Alsacien a été mordu par un chien supposé enragé. Deux jours plus tard, il est amené au laboratoire de Louis Pasteur. À ce stade, le jeune berger n'avait déclaré aucun symptôme de la maladie. On ne peut donc pas être certain qu'il était effectivement contaminé, bien que le risque était réel. Alors que les deux premiers essais sur des êtres humains s'étaient révélés infructueux, Pasteur hésita mais entreprit finalement d'inoculer un broyat de moelle de lapin morts de la rage. Une première dans le monde médicale grâce à un homme, Louis, scientifique, chimiste et physicien.

Tout ça est une belle histoire mais des doutes persistent sur la véracité des inventions de Pasteur. Dans son livre « La petite histoire des grandes impostures scientifiques » Gilles Harpoutian, journaliste scientifique nous raconte tous les mensonges du « génie » Louis Pasteur, Scientifique, chimiste et physicien. Scellées pendant plusieurs décennies, les notes de laboratoires de cet homme qui n’était pas médecin ont prouvé qu’il avait été un des plus grands plagiaires des scientifiques de son époque. Déjà en 1881, il s’était attribué les travaux d’un jeune chercheur, un certain Henry Toussaint, vétérinaire toulousain sur la découverte d’un vaccin contre la maladie du charbon.


Début du 20e siècle, notre médecine moderne fait ses premiers pas. Un homme, John Davison Rockefeller, dont le père est marchand itinérant, officier de santé et vendant des « médicaments-miracles » qui n’étaient en fait que des flacons d'huile mélangée à du laxatif, faux remèdes contre le cancer, rêve de devenir un grand homme d’affaires.

En 1870, alors âgé de 31 ans, John Davison Rockefeller fonde sa première société, la « Standard Oil of Ohio » qui devient rapidement la raffinerie la plus rentable de l'Ohio. Il s’entoure de très grands hommes politiques et devient un homme très puissant. En 1911, la Cour Suprême des États-Unis le déclare coupable de corruption, de pratiques illégales et de racket et condamne son entreprise à disparaître. Entouré d’amis politiciens, il ne tiendra pas compte de cette condamnation. Il ne dissoudra pas son entreprise et n’en sera jamais inquiété.

En 1913, pour restaurer son crédit auprès de l’opinion publique, John Davison Rockefeller crée une fondation philanthropique à son nom. Très vite, il s’oriente vers le développement d’une nouvelle médecine, appelée médecine occidentale ou allopathie, mettant l’accent sur les drogues, narcotiques et radiations. Pendant un temps, la fondation n’a de cesse d’avancer dans sa propre médication. Mais un adversaire de taille faisait barrage aux projets de sa médecine moderne, les médecines naturelles à base de plantes, très populaires en Amérique à cette époque. Près de la moitié des médecins et des facultés de médecine des États-Unis pratiquaient la médecine holistique, en utilisant les connaissances de l’Europe et des Amérindiens.

Pour faire barrage à ce problème, Rockefeller fait appel à la Fondation Carnegie, organisation non gouvernementale pour la paix internationale qui choisi Abraham Flexner, employé à la recherche éducative. En 18 mois, Abraham Flexner effectue des recherches et publie en 1910 un rapport intitulé : « L'éducation médicale aux États-Unis et au Canada » qui permettra à Rockefeller de se débarrasser de sa plus grande concurrence en utilisant la stratégie « problème-réaction-solution » En 1920, une décennie après la publication du rapport Flexner, le nombre de facultés de médecine aux États-Unis était tombé de 147 à 85 et continuait à diminuer. Les établissements mal financés, surtout ceux qui formaient des femmes et des Afro-américains, avaient souffert le plus.

La fondation Rockefeller aura permis d’influencer indirectement les politiques de santé. Tout en affaiblissant la médecine naturelle à base de plantes, il subventionnera des écoles médicales et des hôpitaux et parvint ainsi à développer et à écouler ses médicaments issus de l’industrie pétrochimique.

Au début de l’année 1918, une pandémie de grippe fait son apparition. Les premiers cas connus apparaissent aux États-unis. On lui a attribué le nom de « grippe espagnole » car l'Espagne fut le seul pays à publier librement les informations relatives à cette épidémie. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas.

Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley. À la fin de l’année 1918, les soldats sont envoyés en Europe pour combattre la guerre qui fait rage à cette époque. Une étude décrit les soldats « souffrant d’infections actives (qui) mettaient en aérosol les agents pathogènes qui colonisaient leur nez et leur gorge, tandis que d’autres, souvent dans les mêmes espaces de respiration, étaient profondément susceptibles d’être infectés et de se propager rapidement dans leurs poumons par leurs propres bactéries colonisatrices ou celles des autres »

Dans la très sérieuse revue le « Clinical Infectious Diseases », des scientifiques suggèrent que l’aspirine pourrait expliquer en partie le grand nombre de morts que la grippe espagnole a provoqué à l'époque. En effet, en 1918, ce médicament promu par l’industrie pharmaceutique Bayer en 1897 était largement prescrit par les médecins qui ne connaissaient pas encore sa toxicité et son dosage adéquat. Dans le numéro 89 du magasine Nexus, un article titré « Grippe espagnole. Quand l’aspirine tue. »


Plusieurs décennies après le décès de John Davison Rockefeller, un nouveau Rockefeller apparaît sous le nom de Bill Gates. En effet, comme son prédécesseur au début du 20e siècle, sa société Microsoft a fait l’objet de plusieurs procès pour monopole et abus de position dominante. Bill Gates a rapidement dominé tout le secteur de l’informatique personnelle et s’est imposé comme un acteur incontournable de ce secteur, abusant de sa position dominante et entravant la concurrence.

Très vite, la justice veut y mettre un terme. En février 2000, un procès est en cours contre Microsoft, pour abus de position dominante. Pour la cour, présidée par le Juge Jackson, le monopole de l'éditeur est identique à celui que la Standard Oil Company de John D. Rockefeller avait mis en place au début du 20e siècle.

En Juin 2000, après avoir statué sur l'abus de position dominante de la société Microsoft, le juge Jackson publie un verdict argumenté dans lequel il propose, en guise de sanction, de scinder l'entreprise en plusieurs entités. Bill Gates fera appel. En février 2001, l'arrivée à la Maison blanche du républicain George W. Bush est déjà interprétée par les observateurs comme une «chance» pour Microsoft, plus conciliant que Clinton sur l'opportunité de démanteler ce joyau de l'industrie américaine.

En juin 2001, la cour d'appel rend un arrêt mitigé qui conforte Microsoft sur la forme mais nullement sur le fond. Primo, le juge Jackson est destitué, trop vindicatif et trop bavard (dans la presse notamment, violant son devoir de réserve), et par la même ses «remèdes» (dont le principal est le démantèlement) sont jugés invalides. En revanche, sur le fond rien ne change: Microsoft est toujours coupable.

Comme pour effacer une mauvaise image et comme son prédécesseur, Bill Gates veut se faire un nouveau profil. Dès janvier 2000, il crée sa fondation Bill et Melinda Gates. Il s’investit dans la médecine avec un énorme pouvoir d’influence sur les politiques publiques menées à travers le monde et finance des institutions publiques devenues dépendantes de ses dons privés. C’est le cas, tellement révélateur, de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), institution phare des Nations Unies, qui a vu son dernier budget chuter de 13 %, tandis que la Fondation Gates devenait son second « mécène », lui fournissant le vingtième de ses contributions. Au jour d’aujourd’hui, dans les années 2020, une question se pose, Bill Gates aurait il trop d’influence sur l’OMS ? Bien que cette organisation onusienne soit dirigée par ses États-membres et bailleurs de fonds, L’OMS dépend de ses mécènes.

L’OMS a souvent été accusé d’être sous la coupe des big pharma et ce depuis la pandémie de H1N1. En décembre 2009, un document confidentiel de l'OMS sur les maladies négligées a fuité et est mis en ligne sur le site de partage Wikileaks. Il s'agit d'un document de synthèse, fruit de huit années de travail autour de la question sensible du financement de la lutte contre les maladies négligées et de l'accès des plus pauvres aux médicaments essentiels. Problème : le document en question est accompagné d'une note critique de la Fédération internationale de l'industrie du médicament, l'Ifpma, qui n'aurait jamais du se voir communiquer le rapport de l'OMS. Et le lobby du médicament disait dans sa note, tout le mal qu'elle pense d'une taxe sur les bénéfices de l'industrie pharmaceutique pour financer la recherche.

En 2010, Le British Medical Journal (BMJ) a considéré que « la gestion de l'épidémie de grippe H1N1 par l'OMS a été profondément entachée par le secret et les conflits d'intérêts avec l'industrie pharmaceutique » et que « l'OMS doit maintenant agir pour restaurer sa crédibilité et l'Europe devrait légiférer » sur les conflits d'intérêt, estime le journal au terme d'une enquête conduite avec le Bureau of Investigative Journalism (BIJ) de Londres.

Lors de la « pandémie » de Covid19, l’OMS est de nouveau montré du doigt. Son empressement à freiner et déconseiller le recours à d'éventuels traitements contre le Covid19, la polémique autour de l'Ivermectine et de son bannissement dans le traitement de la maladie soulève à nouveau des questions sur l'impartialité de cet organisme de l’ONU vis-à-vis du Big Pharma. Il semblerait que l'OMS soit parvenue à interdire sa prescription en Inde, après plusieurs semaines d'apparents succès spectaculaires contre la flambée épidémique. Serait-ce un problème de rentabilité du traitement qui explique cette promotion du vaccin par l'instance sanitaire mondial ?


Depuis plusieurs décennies, les industries pharmaceutiques nous ont fait miroiter une bonne santé grâce à leur médication. Pourtant, si l’on regarde d’un peu plus près, de nombreux scandales ont émaillés leurs merveilleuses cages dorées. Le tout dernier sorti, date d’avril 2021. Un procès s'est ouvert contre quatre laboratoires américains, dont Johnson-Johnson (J&J), accusés de marketing trompeur qui aurait contribué à la crise des opiacés, à l'origine d'une explosion des overdoses. L’anti-douleur aux opiacés aura fait énormément de dégâts sur la santé des humains, provoquant des dépendances et jusqu’à 500 000 décès depuis 1999, seulement au États-unis.

Les scandales et procès ne s’arrêtent pas là et Pfizer n’est pas en reste.

En 1996, le Nigeria portait plainte contre Pfizer, accusée d’avoir réalisé la même année des essais thérapeutiques dans l’État de Kano, sans avoir obtenu les accords nécessaires des autorités régulatrices du Nigeria. Plusieurs enfants seraient décédés.

En 2009, le laboratoire Pfizer, a été reconnu coupable de pratiques commerciales frauduleuses et a écopé d'une amende de 2,3 milliards de dollars pour solder une plainte sur ses pratiques commerciales.

En novembre 2020, Albert Bourla PDG Pfizer se félicitait d’avoir vendu 5,6 millions de dollars d’actions du laboratoire américain. Plus intéressé par l’argent que le bien-être des humains, ce monsieur aurait-il oublier que ce vaccin est toujours en phase 3 qui se terminera en mai 2023, donc, toujours en phase expérimentale. Ce sont des essais cliniques sur les humains qui doit inclure des volontaires (ce qui n’est pas le cas actuellement). Ensuite viendra la phase 4 où il s’agira de vérifier si des effets indésirables très rares, mais graves, surviennent chez les millions de personnes vaccinées, pour arriver à une autorisation de vacciner la population.

Faire confiance aux grands laboratoires et oublier leurs déboires et leurs scandales est vraiment très grave. L’Agence européenne des médicaments a octroyé en janvier 2021, une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour le vaccin de Pfizer/BioNTech sur la foi des données transmises par Pfizer, alors que ce dernier a été condamné à plusieurs reprises.

Plusieurs mois après l’arrivée du virus Covid19 et après des combats contre tous les médicaments naturels ou au prix modique, la société Merck demande à la FDA, une autorisation d’urgence pour sa « pilule révolutionnaire », le Molnupiravir. Une fausse Ivermectine dont le traitement coûterait 700 dollars et les risques sur la santé, importants (cancer ou malformation congénitale). « Grâce » à la Fondation Bill et Melinda Gates, ce poison mortel sera distribué dans les pays pauvres.

Que ce soit le laboratoire Pfizer ou un autre, tous les Big-Pharma sont concernés par les profits et les scandales qu’explique très bien cette vidéo « Big pharma, labos tout-puissants » ou comment les gros labos dirigent le monde. Notre santé leur importe peu, leur seul intérêt est l’appât du gain.


Plus de cent ans se sont écoulés depuis le début de la médecine moderne supervisée par l’Organisation d’hygiène de la SDN qui deviendra plus tard l’OMS. Il est peut-être temps de se souvenir que l’histoire de la médecine ne commence pas au début du 20e siècle. Pendant des milliers d’années, les hommes ont appris à se servir de la nature pour se soigner.

Nous avons pas besoin d’accepter la camisole chimique que sont ces nouveaux médicaments pétrochimiques et ces vaccins plus que dangereux. Que ce soit les médicaments ou les vaccinations, nos grands laboratoires laissent derrière eux des traces indélébiles de leur passage. Il ne faudrait pas oublier que la nature nous a doté de ses vertus médicinales connues de nos ancêtres. Plusieurs médecines naturelles s’offrent à nous et toutes les maladies peuvent être soigner naturellement, du petit rhume au diabète. À base de plantes, de fleurs, d’oligo-élément, en passant par le yoga et la sophrologie, ces remèdes ont fait leurs preuves et ce, depuis des siècles voire même pour certains, des milliers d’années.

Depuis plusieurs décennies, on n’arrête pas de nous dire que nos ancêtres mourraient très jeunes, faute de médicaments et de vaccins. Pourtant, l’histoire nous prouve le contraire par quelques exemples.

Pendant l’antiquité, soit 2 000 avant notre ère, le pharaon Pepi II est décédé à plus de 100 ans. Ramsès II, à l’âge de 91 ans. Hippocrate, fondateur des règles éthiques pour les médecins, à travers le serment d'Hippocrate, décédé en 377 avant notre ère, à l’âge de 83 ans. Platon, Philosophe antique de la Grèce, décédé en 347 avant notre ère, à l’âge de 80 ans.

Un peu moins loin de notre époque, avant même notre médecine moderne et nos vaccins, plusieurs français connus ou inconnus ont aussi franchi les 100 ans, comme Jean-Frédéric Waldeck, Antiquaire, cartographe, artiste et explorateur, décédé en 1875 à l’âge de 109 ans, Louis-Victor Baillot, soldat des armées napoléoniennes, décédé en 1898 à l’âge de 104 ans et bien d’autres centenaires prouvent encore que vivre vieux n’est pas l’apanage de notre médecine moderne.

Qu’elles soient européenne, chinoise, ayurveda, africaine ou autre, toutes les médecines traditionnelles du monde soignent aussi bien les humains que les animaux. Il suffit simplement de faire quelques recherches et de se lancer.

Dans les temps pas si anciens, nos ancêtres savaient se soigner. Réapprenons à nous soigner, écoutons notre corps. Il est temps de réveiller le médecin qui sommeille en nous.

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